Le coaching qui te botte les fesses (avec amour)

Un manuel hardcore pour ceux qui en ont marre de la mollesse mentale et émotionnelle


Chapitre 1 : Arrête de te raconter des conneries

La première leçon que tu dois comprendre, c’est simple : personne ne va venir te sauver. Pas tes amis, pas ton patron, pas cette vidéo inspirante sur TikTok. Personne.

Anecdote : J’ai coaché un type qui voulait “changer sa vie”. Pendant six mois, il est venu à toutes les sessions, mais il ne faisait jamais rien entre deux. Je lui ai dit :

“Écoute, tu veux changer ta vie ou tu veux juste continuer à te plaindre avec élégance ?”
Ça a marché. Il a commencé à agir. Parce qu’on peut te botter les fesses autant qu’on veut, mais si t’es pas prêt à le sentir, rien ne se passe.

Leçon hardcore : La première responsabilité du coaching, c’est de te rendre honnête avec toi-même. Et ça fait mal.


Chapitre 2 : L’amour dur, c’est réel

Le coaching qui botte les fesses, ce n’est pas juste hurler ou être violent. C’est un amour qui pique. Un amour qui te fait sentir chaque cicatrice que tu caches derrière ton sourire poli.

Anecdote : Une fois, j’ai coaché une femme qui sabotait toutes ses relations. À un moment, j’ai simplement dit :

“Tu ne vas jamais aimer quelqu’un tant que tu ne te détestes pas un peu toi-même.”
Ça l’a frappée. Elle a pleuré. Trois semaines plus tard, elle m’a appelé pour me dire qu’elle avait commencé à changer. Ce genre d’amour, c’est brutal, mais efficace.

Leçon hardcore : Si ton coach te dit que tu es “super”, il te ment. Le vrai coaching, ça fait mal, mais ça transforme.


Chapitre 3 : La douleur est ton carburant

Le coaching hardcore repose sur un principe simple : la douleur forge le muscle mental. Chaque critique, chaque vérité qui fait mal, c’est un entraînement.

Anecdote : Un gars est venu me voir en pleurant après s’être fait virer. Au lieu de le consoler, je lui ai dit :

“Bravo. Maintenant t’as deux choix : te vautrer dans ta misère ou transformer cette humiliation en moteur.”
Six mois plus tard, il dirige sa propre boîte. Sans cette claque initiale, il serait encore sur son canapé à regarder Netflix.

Leçon hardcore : Si ça ne fait pas mal, tu n’avances pas. Embrasse la douleur. C’est ton coach qui t’aime.


Chapitre 4 : L’action > La motivation

Je vais te le dire sans détour : la motivation est une illusion. Les gens pensent que tu dois “te sentir motivé” pour agir. Faux. L’action précède la motivation. Toujours.

Anecdote : Un client voulait courir un marathon, mais il disait toujours qu’il n’était pas motivé. Je lui ai mis un ultimatum :

“Cours 5 km maintenant. Peu importe comment tu te sens.”
Il l’a fait. La motivation est venue après, pas avant.

Leçon hardcore : Arrête d’attendre le bon feeling. Agis. Et le reste suivra.


Chapitre 5 : L’humilité est ton arme

Aucun coach ne peut te transformer si tu ne reconnais pas que tu es, parfois, un putain de raté. L’humilité te rend réceptif.

Anecdote : J’ai travaillé avec un entrepreneur arrogant. Il pensait tout savoir. Quand il a commencé à admettre ses erreurs devant moi, c’est là que les vrais progrès ont commencé.

Leçon hardcore : L’ego est ton pire ennemi. Ton coach n’est pas là pour flatter ton ego, mais pour le pulvériser… doucement, avec amour.


Chapitre 6 : Les rituels hardcore

Pour que le coaching marche, il faut des rituels. Pas des “routines zen” à la noix. Des rituels qui te font hurler.

  • Le matin, écris tes trois objectifs les plus effrayants pour la journée. Pas “boire du café”. Vraiment effrayants.
  • Chaque soir, note trois fois où tu as échoué et pourquoi c’est ta faute. Pas de place pour l’excuse.
  • Chaque semaine, fais quelque chose qui te terrifie. Parce que le confort est ton ennemi.

Anecdote : Un client a commencé à faire ce rituel. Trois mois plus tard, il a changé de job, quitté sa relation toxique, et a commencé à courir ses 5 km quotidiens. Tout ça grâce à l’action brutale, pas aux affirmations.


Chapitre 7 : Ton coach est un miroir brutal

La vérité, c’est que ton coach ne fait que refléter ce que tu refuses de voir. Si tu détestes ce qu’il dit, regarde-toi dans le miroir. C’est toi.

Leçon hardcore finale : La personne la plus dure à coacher, c’est toi. Alors accepte la douleur, écoute le miroir, et avance. Avec amour. Mais sans pitié.


💥 Mantra final :

“Si ça ne me brûle pas, ça ne me transforme pas.”

C’est ça, le coaching qui te botte les fesses. Avec amour, avec brutalité, et avec la certitude que la seule personne qui peut changer ta vie… c’est toi.